La création de ce site "je me souviens" est parti de l'idée géniale de Georges PEREC qui, par des pages laissées   blanches à la fin de son livre, invite ses lecteurs à évoquer leurs propres souvenirs. C'est ce que je me propose de faire   avec une note plus personnelle, tout en respectant la simplicité du détail et de l'anecdote.

  Plusieurs niveaux de lecture vous sont proposés :

      - au fur et à mesure de l'apparition des "je me souviens" sur la Une de mon site

      - au gré de votre envie,  par thème                                     Bonne lecture                                                  Robert

 6SM

Je me souviens avoir appris à tirer au fusil sur une cible à l’armée et que le sergent ne fut pas très content du résultat : 4 impacts épars dans ma cible et 6 dans celle de mon voisin !

57SM

Je me souviens qu’à l’armée  j’ai atterri chez les commandos de choc, moi, le gringalet, qui ne souhaitais qu’une chose voir du pays, en outre mer tant qu’à faire. L’officier d’orientation, après avoir bien rit, c’est comme infirmier militaire qu’il me désigna

47SM

Je me souviens avoir fait le mur  de la caserne (6 mètres de haut !) avec un tuyau d’arrosage dont l’élasticité donnait l’impression que je descendais plus vite que prévu !

148SM

Je me souviens avoir émue une jeune femme, par ma tenue de trouffion froissée, dans la salle d’attente d’une gare, en attendant ma correspondance de nuit, pour retourner à la caserne, lisant tristement une revue féminine pour passer le temps. Nous avons bavardé longuement et prolongé, par la suite, nos conversations par correspondance : elle était devenu ma marraine de l’armée  

209SM

 Je me souviens que lors de mes classes au service militaire, la tête ahuri du Chef, lors d'une séance de tir au fusil, de trouver 4 impact de balle dans ma cible et 6 dans celle de mon voisin !

281SM

Je me souviens également avoir joué au rugby sur la plage du Canet, pendant   mon service militaire, avec des collègues 'trouffions' du niveau de l'équipe de France junior !!!

347SM

 Je me souviens que lorsque j'étais conscrit il était de tradition de le faire savoir en faisant éclater quelques pétards et en faisant quelques "bétises" du genre : ramasser tous les pots de fleurs sur les fenêtres et balcons et les exposer sur la place du marché. Le comique de la situation, c'était les femmes qui se crépaient le chignon en se disputant les fleurs qu'elles pensaient être à elle !