La création de ce site "je me souviens" est parti de l'idée géniale de Georges PEREC qui, par des pages laissées   blanches à la fin de son livre, invite ses lecteurs à évoquer leurs propres souvenirs. C'est ce que je me propose de faire   avec une note plus personnelle, tout en respectant la simplicité du détail et de l'anecdote.

  Plusieurs niveaux de lecture vous sont proposés :

      - au fur et à mesure de l'apparition des "je me souviens" sur la Une de mon site

      - au gré de votre envie,  par thème                                     Bonne lecture                                                  Robert

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Je me souviens avoir participez à un rallye découverte où nous devions trouver, entre autre, la tombe d’Albert CAMUS dans le cimetière de Lourmarin, dans le Luberon

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Je me souviens du dessin animé génial de Roland Topor intitulé «La planète sauvage» avec une histoire et des dessins surprenants et une histoire époustouflante, qui me changeait du style lisse des œuvres de  Walt Disney, dont j’ai pourtant appréciait des adaptations de contes particulièrement réussies !

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Je me souviens que le premier livre que j’ai lu était «GRICHKA l’Esquimau» (de mémoire) dans la collection Rouge et Or, offert par la municipalité pour mon certificat d’études 

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Je me souviens avoir logé dans la demeure bourgeoise avec un grand parc où habitaient autrefois, les frères Goncourt, à Champrosay dans l’Essonne. Nous étions une bonne trentaine à occuper chacun une pièce ! 

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Je me souviens avoir été impressionné par la scène du jeune héros qui partage la cabine sur un balanier avec un «sauvage», harponneur de son état, qui me donnait la chair de poule. C'était "Moby Dick", la baleine blanche de Herman MELVILLE 

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Je me souviens avoir été impressionné par la lutte contre le poulpe géant dans «20 000 lieues sous les mers» qui m’a fait découvrir Jules Vernes et amené à la lecture des auteurs de romans d’aventures célèbres, tels que Jack London, par exemple

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Je me souviens de l'insolent port de tête, avec de magnifiques cheveux blancs qui bordaient le crâne bombé d'ARAGON. Il mangeait, là, à un des nombreux restaurants miltants de la fête de "l'Humanité", deux tables plus loin que la notre

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 Je me souviens de ce moment d'attente délicieux, du bruit des pages lorsque notre instituteur les  tournaient lentement, à la recherche d'une histoire à nous lire. C'était notre cadeau.